Alexandra Une Rencontre de Soir

Alexandra prit une autre gorgée de son Manhattan et ferma les yeux. Le bourbon laissa une douce brûlure, et elle eut besoin d’une autre gorgée juste après. Elle s’est essuyé le front. Elle avait chaud en courant dans son appartement pour s’habiller.

Rendez-vous galant!

Elle a fait un rapide snap pour ses abonnés Snapchat de son visage de près, demandant quel rouge à lèvres elle devrait porter. Elle se pinça les lèvres pour Magnetism, un magenta profond aux baies. Et pour Berryram, qui était évidemment encore plus rempli de baies que Magnetism.

Berryrama était la gagnante, et elle l’a appliqué sur ses lèvres alors qu’elle prenait encore une gorgée de son Manhattan. Elle marchait dans le couloir de son appartement, voyait sa silhouette contre le mur et cela lui faisait sourire. Toutes ses courbes – même lorsqu’on la voyait hors de proportion – lui plaisaient. Elle a commencé à se faufiler dans le couloir. Elle n’était pas du tout ivre. Elle ne pouvait pas se le permettre parce qu’elle était très concentrée sur ce qu’elle allait porter, et comment elle allait maquiller son visage. Elle devait avoir l’air parfaite. Rien ne pouvait être déplacé. Elle devait ressembler à une bombe prête à être dévorée.

Le bruit de ses talons comme ils ont fait contact avec le sol ci-dessous devait être parfait aussi bien. Elle arracha la ficelle de son string de son dos, mais fut heureuse qu’elle fût assez voluptueuse pour engloutir la fine dentelle. La pression de l’entrejambe de son string lui donnait envie de lisser la dentelle et le coton entre ses jambes mais elle n’allait pas le faire maintenant.

Il y aurait du temps pour cela plus tard.

Son reflet en face d’elle dans le miroir pleine longueur l’excitait alors qu’elle s’asseyait sur les toilettes, son string en dentelle à ses genoux et toutes ses courbes à la vue. Ses seins ont donné l’illusion de bouillonner hors de son soutien-gorge comme elle s’est appuyée sur ses cuisses – pas que cela a pris beaucoup pour eux de toute façon. Se regarder était excitant, presque comme se regarder comme un modèle de caméra. Alexandra se regarda dans les yeux alors qu’elle enlevait son soutien-gorge et lâchait ses seins.

Elle était sûre que si vous demandiez à n’importe quelle femme, ils apprécieraient de prendre un soutien-gorge comme l’un des meilleurs sentiments. Son soutien-gorge est tombé dans une flaque d’eau à ses pieds, et elle est sortie de la partie supérieure de la dentelle assortie qu’elle portait. Toujours en train de se surveiller, elle roula ses seins avec ses deux mains. Elle pouvait sentir une suggestion de chocolat encore sur ses doigts, alors elle a décidé de s’étirer et de choisir un des chocolats de la boîte, en le plaçant sur sa cuisse. Même si elle fondait, elle prenait encore une bouchée de son Manhattan et gardait sa langue encerclée autour des cerises brandies qu’elle y avait placées.

Comme le chocolat était fondu sur sa cuisse, elle l’a gratté et léché avec ses doigts. L’endroit entre ses jambes battait – littéralement battait – avec le besoin pour elle de l’encercler, au lieu des cerises qu’elle avait encerclées avec son doigt.

Mais elle n’allait pas le faire. Elle voulait attendre un peu avant de ne plus pouvoir le supporter. Elle s’est mordue la lèvre parce qu’elle n’était pas sûre que ce n’était pas le moment qu’elle ne pouvait pas supporter, mais elle n’allait pas se toucher – pas encore.

Enduisant ses mamelons de chocolat, elle a joué avec eux et a dû faire attention parce que si elle jouait trop avec eux, elle allait venir – et elle ne voulait pas venir par là. Mais la sensation de jouer avec eux l’a rendue encore plus palpitante. Elle cherchait désespérément à se libérer… mais pas encore. Ce serait tellement mieux si elle attendait – les bonnes choses viennent à ceux qui attendent – alors elle a pris le doux plaisir qu’elle se donnait.

Le doux parfum du chocolat et le désir la rendaient folle. Aubrey se sentait presque glisser du siège des toilettes alors qu’elle se tortillait de plaisir. Entre ses jambes était comme la lave, parce qu’elle était mûre à ce moment-là pour tout le plaisir dans le monde qu’elle pouvait se donner.

Mais elle a attendu.

Elle prit une profonde inspiration et se regarda à nouveau dans les yeux. Elle prit une autre gorgée de son Manhattan, utilisant sa langue pour obtenir l’une des cerises qu’elle y avait placées pour mâcher alors qu’elle se tendait enfin la main. En écartant les jambes, elle pouvait voir tous ses mystères se révéler. Elle était dans son domaine. Hypnotisée par son propre mouvement entre ses jambes, elle se déplaçait contre son doigt, grinçant – désespérément maintenant – parce que maintenant elle ne pouvait pas attendre.

Maintenant, elle avait besoin de plus. En tirant sur son mamelon, elle a rebondi de haut en bas sur le siège des toilettes, transpirant et glissant. Elle n’a jamais cessé de se regarder. Elle n’a jamais cessé de regarder les cercles qu’elle faisait avec ses doigts et ses hanches. Elle se fixa alors qu’elle glissait par-dessus le bord, sa bouche ouverte en O alors qu’elle sifflait et serrait ses jambes ensemble. Elle palpitait encore même quand elle éloignait son doigt.

Peut-être qu’elle pourrait y retourner ?

Mais elle a passé la nuit entière. Le Manhattan, les chocolats gourmets et les sushis qui devaient être livrés plus tard. elle s’est levée et a mis de côté son soutien-gorge. Elle allait passer le reste de la nuit seule et nue.

C’était la nuit du rencard après tout.

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Alexandra 35ans  ÉnormeTaille des seins 36DD J’aime me sentir désirée, et je suppose que de belles paroles sont la clé de mon cœur. Je trouve la passion, la compassion et l’humour une façon de créer des liens. Amoureux de voyager et d’avoir un verre de vin avec ceux qui me sont chers. Les liens entre l’esprit, l’âme et le corps, en particulier tout en un, jouent également un grand rôle dans ma vie. Mais assez parlé de moi. Devons-nous explorer vos passions.